Qui dit nouvelle année académique dit nouvelle équipe pour la Fédération des Etudiant.e.s Francophones. Ce mardi 1er août, les nouveaux membres du Bureau et du Comité exécutif de la FEF – 15, pour être précis – prennent leurs fonctions. Une équipe déjà riche de sa motivation et de sa diversité, mêlant visages nouveaux et visages connus, prête à relever les défis que représentera ce mandat au sein de l’organisation étudiante.
Ainsi, lors du Conseil Fédéral électif du 29 avril dernier, Maxime Mori a été réélu président de la Fédération, et ce pour la deuxième année consécutive. Au sein du Bureau, il sera épaulé dans sa fonction par Coralie Sampaoli, secrétaire générale, qui occupait déjà ce poste depuis le premier quadrimestre 2017, et Romain Annoye, ancien membre du Comité exécutif, comme trésorier. A leurs côtés, on retrouve deux anciens membres du Bureau et un du Comité : Hélène Mariaud (responsable international), Romain Di Nunzio (co-responsable formations) et Joachim Wathelet (co-responsable campagne). Enfin, Ilias Karavidas (co-responsable dossiers) et Quentin Sellier (responsable élections), deux nouveaux étudiants, viennent gonfler les rangs du Bureau.
Le Comité exécutif comptera, lui, sept membres effectifs, anciens et nouveaux : Julie Demarteau (responsable communication), Doriane Mugisha (co-responsable services), Brieuc Delanghe (coresponsable services), Maxime Michiels (co-responsable formations), Anthony Maton (coresponsable dossiers), Robin Haubruge et Manon Sperati.
Une nouvelle équipe déterminée à faire preuve de réactivité et de proactivité pour l’année à venir. Cette dernière commencera avec la désormais traditionnelle « Université d’été » de la FEF (les 9, 10 et 11 septembre prochains), qui mettra à l’honneur, pour cette 7ème édition, les conditions de vie étudiante et les résultats des enquêtes réalisées sur le sujet l’an dernier.
Outre cet événement, les priorités de la Fédération pour 2017-2018 seront, notamment, la mise en place d’un service d’aide à l’étudiant.e en son sein, ou encore les enjeux sur l’accessibilité aux études (en particulier, les soins de santé). Enfin, ce nouveau mandat sera aussi rythmé par la préparation aux élections communales et législatives de 2018 et 2019.